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Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France |
| DRAC Pays de La Loire / Service régional de l'Inventaire |
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Ville de La Baule-Escoublac |
| Conseil Général de Loire-Atlantique |
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Baule-Escoublac (La), lotissement La Baule-les-Pins, Grande Dune (avenue de la) 37
| Type de dossier : individuel | Date de l'enquête : 1990 |
DésignationDénomination : maisonPrécision sur la dénomination : villa balnéaire Appellation et titre : Les Poteries Normandes Destinations successives et actuelles de l'édifice : immeuble à logements Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : jardin
Compléments de localisationRéférence(s) cadastrale(s) : 2004 BP 164Numéro INSEE de la commune : 44055 Aire : Côte-d'Amour (La) Canton : Baule-Escoublac (La) Milieu d'implantation : en ville
HistoriqueCommentaire historique : L'architecte baulois René Perrey dessine vers 1924 cette villa, réalisée pour la fille et le gendre de M. Filmont, propriétaire d'une usine de céramique architecturale à Caen. C'était le magasin baulois des "poteries normandes". Les modèles étaient exposés dans le jardin, sur la toiture et à l'intérieure. René Perrey publie cette villa dans L'Habitation moderne. Photos et plans sont consultables dans le fonds René Perrey (non inventorié).Datation(s) principale(s) : 1er quart 20e siècle Auteur(s) : Perrey René (architecte) Justification de l'attribution : attribution par source Personne(s) liée(s) à l'histoire de l'oeuvre : Filmont (commanditaire)
DescriptionCommentaire descriptif : Plan massé avec rez-de-chaussée et un étage sur rez-de-jardin. Cette villa "dissymétrique anglo-normande" (cf. typologie) est implantée au milieu d'un jardin. La toiture est en tuile plate. Les murs sont recouverts d'enduit sauf le soubassement en moellons de granite. Sur la façade est, se dresse un pignon couvert par une demi-croupe et percé de trois fenêtres accouplées. Ce pignon est décoré par un faux pan-de-bois en béton. Au sud un porche en avant-corps est coiffé d'un pignon couvert et soutenue par deux piliers en moellons. Un escalier mène à ce porche. Au nord un autre avant-corps à mur gouttereau est percé au rez-de-chaussée d'une grande fenêtre renforcée par deux meneaux en béton. Entre les deux avants corps une large fenêtre à linteau en béton est percée sous le pignon couvert. Cinq épis en céramique ornent chaque angle du faîtage.Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : granite ; enduit Matériau(x) de couverture : tuile plate Parti de plan : plan massé Type de la couverture : toit à longs pans ; noue ; pignon couvert ; demi-croupe Technique du décor : céramique Représentation : oiseau ; animal ; bouquet Typologie : Anglo-normand. Etat de conservation : détruit
Intérêt de l'oeuvreElément(s) remarquable(s) : élévation ; épi de faîtageOeuvre étudiée
Situation juridiqueStatut de la propriété : propriété privée
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Archives privées René Perrey.
"Magasin de poteries normandes à La Baule, architecte M. P.", L'Habitation Moderne, novembre 1928, p. 206 à 208.