Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France	DRAC Pays de La Loire / Service régional de l'Inventaire
Ville de La Baule-Escoublac	Conseil Général de Loire-Atlantique
patrimoine de la villégiature

Baule-Escoublac (La), lotissement Darlu, Mouettes (allée des) 21

Maison dite villa balnéaire la Tyrolienne

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Désignation Dénomination : maison Précision sur la dénomination : villa balnéaire Appellation et titre : la Tyrolienne Destinations successives et actuelles de l'édifice : villa balnéaire Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : jardin Compléments de localisation Référence(s) cadastrale(s) : 2004 CD 248 Numéro INSEE de la commune : 44055 Aire : Côte-d'Amour (La) Canton : Baule-Escoublac (La) Milieu d'implantation : en ville Historique Commentaire historique : Un plan de cette villa signé par l'architecte parisien Louis Holt et date du 25 octobre 1912 est consultable dans le fonds le Gouic (non inventorié). Datation(s) principale(s) : 1er quart 20e siècle Date(s) : 1912 Justification de la datation : daté par source Auteur(s) : Holt Louis (architecte) Justification de l'attribution : attribution par source Description Commentaire descriptif : Plan massé avec rez-de-chaussée et deux étages sur rez-de-jardin. Cette villa "dissymétrique médiévale" (cf. typologie) est mitoyenne à l'est et implantée au milieu d'un jardin donnant sur le quatre allée des Vanneaux. La toiture est en ardoise et les murs sont en moellons. A l'ouest de la façade sud une tour demi ronde forme avant-corps et est coiffée d'une toiture conique surmontée d'une lucarne. Trois baies plein-cintre au rez-de-chaussée surélevé sont séparées par deux colonnes en pierre taillée et cerclées par des tirants acier. Un escalier en granite mène du jardin à la véranda au centre des trois trois baies. A l'étage deux fenêtres à cintre surbaissée et avec garde-corps en fonte encadrent une plaque en faïence représentant deux oiseaux. A l'est de la tour un retour est recouvert d'une toiture terrasse en ciment et cerné de créneaux et merlons. Un échauguette en bois surmonté d'une toiture à huit pans et terminé par un épi zinc est cale dans l'angle de la tour et du retour. A l'opposée de cette échauguette un oriel en bois supporté par des consoles en bois est accroché à l'ouest de la tour. Au rez-de-chaussée du retour trois larges fenêtres cintrées sont surmontées par trois fenêtres avec garde corps en fonte. Cet oriel est garni d'un vitrail. Un bandeau en pierre ceinturé tout le bâti. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : pierre Matériau(x) de couverture : ardoise ; ciment en couverture Parti de plan : plan massé Vaisseau(x) et étage(s) : sous-sol ; rez-de-chaussée surélevé ; 1 étage carré ; étage de comble Type de la couverture : toit conique ; terrasse ; toit polygonal Technique du décor : céramique Représentation : oiseau Typologie : Gothique. Etat de conservation : restauré Intérêt de l'oeuvre Intérêt de l'oeuvre : à signaler Elément(s) remarquable(s) : tour ; échauguette Oeuvre étudiée Situation juridique Statut de la propriété : propriété privée

Vue d'ensemble.

Documentation

Documents d'archives

Archives privées Le Gouic.

Illustrations

Fig. 1 Vue d'ensemble.

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