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Baule-Escoublac (La), lotissement Benoit, Rageot de la Touche (quai) 9
Type de dossier : individuel | Date de l'enquête : 1990 |
DésignationDénomination : maisonPrécision sur la dénomination : villa balnéaire Appellation et titre : Eole Destinations successives et actuelles de l'édifice : immeuble à logements Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : jardin
Compléments de localisationRéférence(s) cadastrale(s) : 2004 CI 351Numéro INSEE de la commune : 44055 Aire : Côte-d'Amour (La) Canton : Baule-Escoublac (La) Milieu d'implantation : en ville
HistoriqueCommentaire historique : Cette villa est dessinée par l'architecte baulois Adrien Grave vers 1926 et il la publie dans son livret d'architecte. La paludière en bois sculpté est l'oeuvre du sculpteur Georges Robin qui l'exposa en 1925 à Paris lors de l'exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes. La villa "Eole" a été détruite pour l'immeuble "Eole".Datation(s) principale(s) : 2e quart 20e siècle Auteur(s) : Grave Adrien (architecte) ; Robin Georges (sculpteur) Justification de l'attribution : attribution par travaux historiques
DescriptionCommentaire descriptif : Plan allongé avec rez-de-chaussée et deux étages sur sous-sol. Cette villa "dissymétrique bretonne" (cf. typologie) est implantée en limite du quai. Au nord la villa est accolée à la villa "Pymone". Les murs sont recouverts d'enduit et la couverture est en ardoise. Deux pignons découverts avec rampants et crossettes en béton se dressent sur ce quai. Celui au nord-est percé d'un oculus au niveau des crossettes, un arc de décharge en granite soulage le linteau de la porte-fenêtre qui ouvre sur le balcon en béton avec garde-corps en bois. Ce balcon surplombe au rez-de-chaussée une fenêtre à cintre surbaissé et meneaux. Le pignon au sud de la façade ouest à des rampants assises en granite, une fenêtre plein-cintre à la place de l'oculus et un oriel trapézoïdal en pan-de-bois à la place du balcon surplombe aussi une même fenêtre au rez-de-chaussée. Une fenêtre aussi large avec linteau droit en béton s'interpose entre ces deux fenêtres. De même une loggia avec deux colonnes en granite s'interpose entre la balcon et l'oriel. Au-dessus de la loggia et entre les deux pignons la toiture est percée d'une lucarne à pignon découvert. Tout au sud de la façade ouest un appentis découvert avec rampant en granite assise est percé au rez-de-chaussée d'une fenêtre plein-cintre avec appareillage en granite. Entre l'oriel et le rampant de l'appentis une paludière en bois sculpté se loge dans une niche. La façade sud donne sur le jardin et l'appentis est percé d'une large fenêtre à linteau droit en béton et deux meneaux. Cette fenêtre sous l'égout de l'appentis est surmontée à l'étage d'une lucarne à ossature bois.Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : granite ; enduit Matériau(x) de couverture : ardoise Type de la couverture : toit à longs pans ; noue ; pignon découvert Technique du décor : sculpture Typologie : Breton. Etat de conservation : détruit
Intérêt de l'oeuvreOeuvre étudiée
Situation juridiqueStatut de la propriété : propriété privée
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GRAVE (Adrien), Adrien Grave, quelques réalisations, Strasbourg, Imprimerie Istra, 1936.
Baule-Escoublac (La), Généralités |
Baule-Escoublac (La), Maisons dites villas balnéaires et immeubles à logements |
Baule-Escoublac (La), lotissement Benoit, Lotissement concerté Benoit |