Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France	DRAC Pays de La Loire / Service régional de l'Inventaire
Ville de La Baule-Escoublac	Conseil Général de Loire-Atlantique
patrimoine de la villégiature

Baule-Escoublac (La), lotissement Benoit, Lilas (avenue des) 51

Maison dite villa balnéaire La Marjolaine puis Le Colombier

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Désignation Dénomination : maison Précision sur la dénomination : villa balnéaire Appellation et titre : La Marjolaine ; puis Le Colombier Destinations successives et actuelles de l'édifice : villa balnéaire Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : jardin Compléments de localisation Référence(s) cadastrale(s) : 2004 CI 84 Numéro INSEE de la commune : 44055 Aire : Côte-d'Amour (La) Canton : Baule-Escoublac (La) Milieu d'implantation : en ville Historique Commentaire historique : Cette villa a été dessinée par les architectes nantais Paul (père) et Philippe (fils) Devorsine en 1930. Les plans sont consultables aux archives municipales : autorisation de construire n° 178 du 26 mars 1930. Datation(s) principale(s) : 2e quart 20e siècle Date(s) : 1930 Justification de la datation : daté par source Auteur(s) : Devorsine Paul (architecte) ; Devorsine Philippe (architecte) Justification de l'attribution : attribution par source Description Commentaire descriptif : Plan masse avec rez-de-chaussée et un étage sur sous-sol. Cette villa "dissymétrique provençale" (cf. typologie) est implantée au milieu d'un jardin bordé par l'avenue d'Anjou n° 9. La toiture est en tuile canal et les murs sont recouverts d'enduit rose. Au centre de la façade sud, un pignon couvert par un large auvent de toiture soutenu par des potences en bois est percé à l'étage d'une véranda-loggia à l'ouest et d'une large fenêtre cintre avec imposte vitrée à l'est surmontant au rez-de-chaussée deux fenêtres. A l'ouest de ces fenêtres, un escalier soutenu par un contrefort mène à la véranda. En retrait à l'est une tour est percée au rez-de-chaussée d'une porte abritée sous un auvent en tuile canal et d'un châssis à l'étage. Au-dessus de la toiture, la tour est coiffée d'une toiture en pavillon avec un petit étage en encorbellement pour le pigeonnier percé au sud de trois boulins. Au nord de la façade ouest, un avant-corps sous la toiture soutenue par des potences en bois, est percé d'une fenêtre à l'étage et est précédé au rez-de-chaussée d'un pignon couvert formant lui aussi avant-corps et percé d'une fenêtre à trois vantaux. Au sud de ce pignon couvert une fenêtre est surmontée à l'étage par la loggia-véranda. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : enduit Matériau(x) de couverture : tuile creuse Vaisseau(x) et étage(s) : sous-sol ; rez-de-chaussée surélevé ; 1 étage carré Type de la couverture : toit à longs pans ; toit en pavillon Typologie : Provençal. Etat de conservation : restauré Intérêt de l'oeuvre Elément(s) remarquable(s) : élévation ; colombier ; véranda Oeuvre étudiée Situation juridique Statut de la propriété : propriété privée

Vue d'ensemble.

Documentation

Documents d'archives

Archives municipales de La Baule-Escoublac, autorisation de construire n° 178, 26 mars 1930.

Illustrations

Fig. 1 Vue d'ensemble.

Fig. 2 Façades sud et ouest au 1/50e de la villa Marjolaine.

Fig. 3 Plans du rez-de-chaussée et de l'étage au 1/50e de la villa Marjolaine.

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